La rencontre avec l’infatigable qui surprend

Catégories : Rencontres LIBERTINS candaulistes Femmes rondes Plaisir des yeux Libertins
il y a 6 ans

La rencontre avec l’infatigable qui surprend

Je viens ce soir vous raconter une histoire tout à fait originale et réelle qui m’est arrivé l’année dernière. Je suis assez connu dans le milieu du X amateur, j’ai en effet déjà tourné dans une dizaine de scènes amateurs, avec des filles, avec un mec, avec plusieurs gars. Vous vous en doutez, pas grand-chose me fait peur dans le sexe, et je dis oui en général à toute proposition, j’ai guère de tabous. Ce matin là donc, le téléphone sonne et c’est mon ami, fiancé à l’appareil.

C’est également lui qui gère ma carrière d’actrice, mes scènes et mes cachets. Il me demande si je suis dispo pour tourner après-midi, une scène en région parisienne. Mes premières questions concernent le cachet, assez intéressant au demeurant… puis je demande ce qu’est la scène. Et là, il part en rigolant, me disant que c’est un truc que j’ai jamais fait encore. Je suis surprise car depuis le temps, je pensais avoir fait pratiquement le tour de la question niveau sexe. J’accepte donc, assez excitée par l’idée de cette découverte ; j’enfile un vieux jean et de jolis dessous et je vais au lieu de rendez-vous : un appartement de la banlieue parisienne. Je m’annonce et on m’ouvre la porte d’entrée. Je grimpe dans l’ascenseur, je sens que déjà j’ai la chatte trempée à l’idée d’être surprise !

On m’ouvre la porte, et un gars m’accueille. D’une cinquante d’années, je suis tout de suite déçue, car, au-delà de l’âge, il n’a vraiment pas le physique que j’attends d’un hardeur. J’en veux direct à mon copain qui sait très bien que pour m’éclater dans les scènes, j’ai besoin que le gars me plaise un minimum. Pour me laisser baiser, et pour lui donner du plaisir et en transmettre à la caméra. Là, je me dis que ça va pas être possible, le mec n’a rien fait pour s’arranger, cheveux en bataille, vieille bedaine, habits trop grands. J’entre dans la pièce, mais je commence déjà à me dire que je ne ferais pas la scène si c’est lui.

Luc me demande de m’asseoir, et me présente le caméraman, que je connais déjà. Je demande donc directement ce qu’est la scène et je suis rassuré quand Luc me dit que je ne vais pas le baiser, LUI, mais que mon partenaire, ou plutôt ma partenaire m’attend dans la pièce d’à côté. Une nana ? Chouette ! j’avais bien envie de me faire brouter la chatte ce jour ! Et même si elle est moche, ça passera mieux que Luc déjà. Ils me proposent donc déjà de me déshabiller et de les rejoindre dans la pièce adjacente. Je retire donc mon jean slim, mon tee shirt et me voilà en dessous blanc, très aguichants pour plaire à la demoiselle, ou la dame.

J’entre dans la pièce. Luc et le caméraman m’attendent. Personne d’autre. C’est quoi cette embrouille. Sur le lit un drôle de harnais m’attend, et ils me demandent de m’installer. Me voilà dans une position étrange, jambes écartées, et maintenues par des attaches comme dans un trip SM.

Je demande donc à quelle sauce je vais être mangé. Luc me répond : « je vais te présenter Tina »

Tina, il la récupère sous le lit et c’est une machine, pas un être humain. Un mécanisme avec un moteur, des s a n g les et au bout, un gigantesque gode d’une quinzaine de centimètres. Voici Tina, la machine à jouir.

Je me mets à rire, car bizarrement je ne suis pas du tout dans le trip objet, pour moi rien ne vaut une bonne queue, et surtout plusieurs queues. Je dis que je vais faire la scène, et tester leur engin, mais je ne me f o r c e rai pas à jouir si rien ne vient ! Luc rigole, et me demande de me laisser faire. Il attache mes mains, non sans me demander de me passer un peu de lubrifiant sur la chatte ; chose que je préfère faire moi-même, je veux pas qu’il me touche !

En position, Luc installe donc Tina devant mes cuisses écartées, je ne peux plus bouger désormais, reste à me laisser faire. Il allume Tina, les s a n g les s’animent et par un jeu de rouages et de mécanismes, le gode se met à remuer et à bouger d’avant en arrière. Luc le place donc en plein devant ma chatte et l’enfonce. Je sens Tina s’enfoncer dans mes chairs, comme un vulgaire gode, mais d’une grosseur sympathique. Puis il se recule et laisse le caméraman filmer la scène. Je commence à sentir ma chatte s’écarter, le gode entre et sort lentement, et par une télécommande je sens qu’il va de plus en plus loin. Au bout de quelques minutes, il entre et sort presque entièrement de moi, et je dois reconnaître que l’effet est pas mal, mes gémissements et mes regards caméra de salope ne sont pas feints ! Luc continues et décide donc d’accélérer le mouvement, et là les choses prennent une autre tournure, car à cette rapidité, les sensations sont excellentes, je me fais labourer la chatte comme jamais ; je regarde l’objet entrer en moi et c’est vrai que la rapidité est impressionnante, et ne cesse d’augmenter !

Tina va de plus en plus vite et je commence vraiment à apprécier, mieux, je prends mon pied comme la pire salope, j’ai déjà envie de jouir alors que la scène a commencé depuis à peine quelques minutes. Une chaleur monte en moi, une envie folle de crier et de gémir, j’ai jamais connu ça ; ça va toujours aussi vite, la machine me pilonne le minou et en quelques secondes, je jouis comme jamais, je me met à crier encore encore et pour la première fois je parviens à éjaculer de la mouille sur les draps, comme un gars. Je jette ma tête en arrière, comblée par cette machine, sous le regard coquin de Luc, que j’ai même envie de sucer pour le remercier. Il ralentit alors la machine qui s’immobilise au fur et à mesure avant de doucement sortir de ma chatte endolorie. Voilà, la scène a duré 6 minutes et effectivement c’est une expérience que je ne regrette pas ! Merci Tina !

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement